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Dans la tête de Nyxx

29 décembre 2010

Boulot aussi !

Bon eh bien voilà, bonne nouvelle : j'ai trouvé un travail !
C'est exactement le poste que je cherchais, avec un salaire un poil plus haut que ce que je voulais et cerise sur le gateau, c'est juste à côté de là où bosse mon chéri, avec les mêmes horaires que lui :)
Que demander de plus ?

Je commence mardi, et j'espère que tout se passera bien. Je ne peux pas m'empêcher d'être un peu méfiante, les choses s'emboitent trop bien pour être honnêtes ;)

Ca commence à faire beaucoup de coups de chance d'un coup, j'ai peur de ce qui va me tomber sur la tête en retour !

Peut-être que je suis trop parano...

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27 décembre 2010

V comme Vendetta ou bien...

Attention, sujet sensible : j'avais envie de parler un peu de l'ex-femme de ma moitié...

Hier soir, comme assez souvent elle l'a appelée pour avoir de ses nouvelles et larmoyer un peu sur leur histoire. Au début, c'était très dur à supporter, en ce qui me concerne.
Déjà parce que je le voyais souffrir et culpabiliser de l'avoir mise dans cet état, mais également parce que j'avais très peur qu'elle arrive à le récupérer pour ça.

Deux mois plus tard, rien n'a changé pour elle : elle continue à s'agripper à lui.
Lui, j'ai du mal à le faire parler, mais je pense que ça l'énerve et le gêne plus qu'autre chose.

Moi, je n'éprouve plus que de la pitié et de la tristesse pour elle.

Je me suis plongée il y a quelques jours dans les photos qui ont marqué leurs dernières années ensemble.
Étrangement, j'en suis la première étonnée, je ne ressens strictement aucune jalousie.

J'ai de la peine pour elle, en fait : je me met à sa place.
Elle a passé huit ans, et épousé un homme avec qui elle était bien, avec qui elle comptait faire toute sa vie, et je suis bien placée pour savoir qu'à 30 ans, on a la tête toute retournée en pensant à son âge ou en voyant son homme jouer avec un enfant.

Je ne me sens pas coupable, car je sais que l'issu aurait été la même avec ou sans moi. Je n'ai été que le levier qui lui a donné le courage d'aller au bout de ses opinions. Et je pense qu'il ne doit pas s'en sentir mal non plus : on ne peut pas rester avec quelqu'un juste pour lui faire plaisir, quand il n'y a plus de sentiment ni d'envie d'avancer ensemble.

Je n'ai jamais vécu de situation similaire, mais je pense pouvoir entrevoir ce qu'elle ressent, d'autant plus en vivant avec lui.
Il n'y a qu'une chose que je ne pardonne pas : le perdant, elle a commencé à s'auto-détruire et à briser les amitiés autour d'elle. Quelle que soit la douleur que l'ont peut ressentir, il n'y a jamais aucune bonne raison de mal se comporter. Si elle déconne, c'est elle qui ramassera les morceaux, et elle ne pourra s'en prendre qu'à elle-même. Et elle n'a pas besoin de ça en plus, en ce moment.

Si elle était au courant de mon existence, je pense que j'aurai tenté de parler avec elle, d'autant plus que nous avons une partie de notre passé qui est similaire, et dont j'ai mieux guéri qu'elle, apparemment. C'eut été malvenu de ma part, je n'en doute pas, mais j'aurai aimé l'aider. Mais ça, c'est une autre grande leçon de la vie : on ne peut pas sauver tout le monde. Je ne suis pas responsable de ses mauvais choix, je ne peux qu'en être désolée... Si elle n'avait pas fait n'importe quoi, elle serait certainement en train de cicatriser paisiblement.

Je jure de tout tenter pour ne pas reproduire ses erreurs, et ne pas laisser la situation s'embourber comme ils l'ont fait.

27 décembre 2010

After nowel

Ce fut un nowel particulièrement étrange.

Nous avons passé le 24 au soir chez ma soeur, avec son compagnon et les parents de celui-ci. La soirée a été particulièrement agréable, nous avons bien mangé, bien ri... bien bu (surtout moi :D). Comme d'habitude, ma soeur m'a ultra gâtée ! C'est un peu une mère de substitution pour moi, et elle remplit ce rôle à merveille !
Cette soirée a été parfaite, rien à redire.

Non, c'est le 25 dans la journée qui a été vraiment étrange.

Nous sommes allés tous les quatre chez ma grand-mère. J'avais très envie d'en parler ici, pour ne pas oublier, car ce sera sans doute le dernier en sa compagnie.
J'avais déjà eu cette sensation l'année dernière, mais je m'étais trompée : elle était bien encore là, mais ce n'était plus pareil.

S'il y a bien un endroit où la "magie de nowel" marchait encore, c'était chez elle. Mais ce fut différent cette année : pas de sapin, pas de nappe, pas de super vaisselle, pas d'apéritif, pas de papier cadeau... Même pas de cadeau pour elle, j'avoue. Déjà parce que la situation financière est assez critique, mais aussi car elle ne peut plus s'adonner à son passe-temps favoris : la lecture.

Elle ne peut plus sortir, marcher, lire, écrire, regarder la télé. Nous avons dû lui parler du projet de notre mère de l'envoyer dans une maison dans les Hautes Alpes. Cette possibilité ne me réjouit pas plus que ça, personnellement. Je sais très bien qu'une fois qu'elle aura quitté notre région, nous ne la reverrons plus jamais.
D'un autre côté, ce serait bien mieux pour elle : vivre seule sans rien pouvoir faire n'est pas une vie correcte.

Au moins, elle pourrait "profiter" de la fin de sa vie pour voir sa fille et sa dernière petite-fille.

Dans quel état d'esprit serai-je quand je la mettrai dans l'ambulance en me disant "c'est la dernière fois que tu la vois" ?
Pire : ma mère fera-t-elle l'effort, lorsque ce sera le moment, de la faire enterrer ici, à côté du grand-père ? Me laissera-t-on aller à son enterrement ? S'il y est, est-ce que j'aurai le courage de l'affronter ?

Dis mon Ange, est-ce que tu seras là pour me protéger si cela devait arriver ?


Je regretterai éternellement que Pépé n'ait pas pu rencontrer celui avec qui je vais passer ma vie. Lorsqu'il est parti, il a fait jurer à Mémé de toujours bien s'occuper de moi.
Avant qu'elle parte, j'aurai voulu lui prouver que l'éducation qu'elle m'avait transmise n'était pas vaine. J'aurai voulu lui montrer que j'avais un boulot stable, un mariage réussi, des enfants heureux.

Mais rien de tout ça.
Il n'est pas trop tard pour mettre un peu d'ordre là dedans.

24 décembre 2010

Premier Noel

Enfin le week end, et pas n'importe lequel.

Comme je le disais il y 'a quelques semaines, je déteste Noel depuis bien des années. Mais pour la première fois, je pense que je vais beaucoup apprécier celui-là.

Dans deux heures, tu seras dans mes bras. Comme chaque soir, je n'aurai d'yeux que pour toi.
Je te fixerai longuement en étudiant chaque détail de ton merveilleux visage, et tu me souriras en retour.
Tu prendras ma main dans la tienne, et tu m'accompagneras sur ce chemin périlleux, comme toujours.

Je ne me lasse pas de voir ton si beau sourire, et j'espère qu'il ne se fanera jamais, pour moi.
Je veux continuer à te faire rire, je veux que tu te sentes vivant à mes côtés, que tu ne regrettes rien.

Ce matin, lorsque je me suis réveillée, je sortais d'un de ces rêves si prenant qu'on en oublie la réalité. Quand je t'ai découvert à côté de moi, j'ai eu envie de t'enlacer longuement, de ne plus jamais me décrocher de toi.
Quand je t'ai touché, j'ai compris à quel point je ne voulais plus vivre sans toi, à quel point tu es important dans ma vie.

Pour la première fois, je vois Noel d'un oeil nouveau, car cette année, je vais pouvoir profiter du plus beau cadeau qu'on m'ait fait de toute ma vie : le bonheur.


22 décembre 2010

Pensée Nanaesque

"Réaliser ses rêves et accéder au bonheur sont deux choses différentes."

A méditer...

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22 décembre 2010

Still staying on my path

http://www.deezer.com/listen-2157221

I want to live in fire
with all the taste I desire
it's all good if you let me dive
with some sharks on the ground

you loose your routine
you loose your routine
you loose your routine
cause I found my path

what the hell are you trying
now I know there is something more
what happened to you
still staying on my path
are you still denying
now I know there is something more
that this is the truth
it's all in you

what do you came for
what did you expect to find
what do you came for
what did you expect to find
what do you came for
what did you expect to find
what do you came for
what did you expect to find

so boundless I feel
and boundless all my fears
stop running back to old times

you loose your routine
cause I found my path

what the hell are you trying
now I know there is something more
what happened to you
still staying on my path
are you still denying
now I know there is something more
that this is the truth
it's all in you


Pas trop le moral ce matin... C'est une journée pénible de plus qui commence.
Déjà, la nuit m'a parue très courte, et le réveil trop tôt. Et puis j'ai fait un drôle de rêve. Je ne m'en souviens pas vraiment, mais je me sentais vraiment déprimée en me levant.

La seule chose dont je me souviens, c'est que mon chéri me demandait plusieurs fois si je voulais qu'il reste avec moi aujourd'hui, et qu'à chaque fois, je lui disais non, en pensant si fort oui... Évidemment que je voudrais à nouveau l'avoir auprès de moi tout le temps, mais c'est impossible ; la vie n'est pas faite comme ça, et ce serait revenir en arrière pour devoir à nouveau sauter dans quelques semaines. Et puis, je n'ai pas à donner mon avis dans ce genre de choix. Ce n'est pas à moi de choisir.

Je me sens stupide de lui faire subir mes pleurs alors que c'est bien plus dur pour lui. Non seulement il doit gérer son boulot, la fatigue, les déplacements, mais en plus moi, et d'autres soucis à côté.

J'ai l'impression d'avoir tellement peu de temps à partager avec lui. Je sens que le week end va me faire tout bizarre. Je l'attend avec impatience, mais je redoute doublement le lundi. Il faut absolument que je trouve de quoi m'occuper sérieusement la tête. Je sais ce que je veux, mais je ne sais pas comment le trouver, je ne sais même pas si c'est réalisable réellement.

Après tout le chemin que j'ai parcouru pour réussir mon rêve (professionnel), je suis sur le point de tout laisser tomber car je suis trop lâche pour tenir... et trop pressée par les finances. Je dois tenter le tout pour le tout.

Je sais ce que j'ai à faire.

21 décembre 2010

A walk on the darkside

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J'ai déjà parlé dans mon tout premier post de mon attirance pour "le darkside".
C'est une chose que je ne m'explique toujours pas, bien que je m'en sois aperçu il y a déjà plusieurs années.

Je m'en suis encore rendu compte l'autre jour en voyant les deux derniers Batman, ou plus précisément en écoutant leur bande originale. C'est un sentiment très dur à exprimer, mais je vais essayer de le décrire et de le comprendre, et ce sans passer pour une ado de 13 ans ;)

Ce que j'appelle mon darkside, c'est un peu un endroit noyé dans les ténèbres, le froid et le silence, dans lequel j'adore me réfugier quand j'ai besoin de soigner mon esprit. Je ne ressens plus rien à ce moment là : plus de craintes, plus de sentiment, si ce n'est un : la colère.
Mais ce n'est pas un simple énervement, comme on peut en ressentir tous les jours. Elle est bien plus profonde, bien plus forte ; c'est presque de la rage. C'est elle qui me pousse à avancer, à être plus forte, plus curieuse, et à me relever quand tout réconfort a disparu.

C'est ce que j'ai fini par nommer l'auto-thérapie. Je peux me soigner moi-même.
C'est aussi la raison d'être de ces pages.

Je ne veux pas me confier à des proches, je ne le peux pas. Le seul moyen que j'ai trouvé pour vaincre les obstacles est de transformer tout sentiment en rage si forte que j'ai l'impression d'exploser, que je me sens capable de tout accomplir.

Si mon regard est dans le vague, si mon expression se durcit, si je n'entend plus ce que vous me dites, vous m'avez perdue : je me suis retranchée dans l'obscurité.

21 décembre 2010

Phase 2 : boulot

http://www.deezer.com/listen-5317026

Eh oui, ce jour a fini par arriver : mon chéri a trouvé du travail. C'est un peu triste de se dire que les semaines d'insouciance sont terminées. Je renferme dans mon coeur ce mois et demi plein de découvertes et de plaisirs :  notre balade au champs de Mars qui a décidé tout notre avenir, notre première binouze avec Zaria, notre premier déjeuner avec Junta, celui avec les gens de RDC.

Je me souviendrai toujours du jour où il est arrivé ici, pour ce qui devait être un court séjour pour "s'essayer". Je me souviens comme mon coeur battait la chamade en attendant, sur le quai de la gare. Je me souviens de son grand sourire quand il m'a vu de loin, et du soulagement que j'ai ressenti, d'enfin le retrouver. Je me souviens de notre premier baiser, presque volé, dans le RER : nous n'en pouvions plus d'attendre.

Je me souviens de notre promesse que rien ne se passerait pendant ces quelques jours, comme nous avons joué aux adolescents pendant des heures, et comme nous avons finalement succombé en nous couchant. Je me souviens comme je me suis abandonnée, comme c'était bon de pouvoir enfin le serrer contre moi.
Je me souviens comme j'ai été étonné par son sourire à ce moment là, personne ne m'avait jamais souri pendant l'amour. Aujourd'hui encore, je ne m'en lasse pas.

Je me souviens du premier matin où je me suis réveillée à ses côtés, où la première chose que j'ai vu fut ses yeux. Je me souviens de ce sentiment de soulagement que j'ai ressenti à ce moment, et qui ne me quitte plus depuis.

Je ne veux jamais oublier toutes ces petites choses, tous ces petits instants qui nous ont forgé. J'aime chaque instant de cette histoire, et je m'étonne toujours aujourd'hui de me sentir si bien en sa présence. S'il savait à quel point je suis folle de lui...

Mais cette agréable parenthèse est terminée. Retour à la vraie vie, aux obligations et aux contraintes. Peut-être que le temps apaisera ma douleur, mais pour l'instant, c'est un réel déchirement de lui dire au revoir. C'est un supplice d'éteindre la lumière le soir en sachant que je vais le perdre à nouveau le lendemain. Mes activités sont toujours les mêmes, mais elles ont tellement moins de goût sans lui. Je sais que je dois vivre pour moi aussi, que je dois être seule et forte, mais c'est plus fort que moi.

J'y arriverai, avec un peu de temps.
En attendant, voici la raison pour laquelle ce blog existe : je ne veux rien oublier.

14 décembre 2010

Prise de conscience

Damned, je relis mes quelques posts et je me rend compte que je ne parle que de l'homme avec qui je vis, comme s'il était le centre de ma vie.

Hey ce n'est pas faux en ce moment ! Je pense que le plus important dans la vie, c'est de trouver le bon compagnon de jeu avec qui tout partager. La vie EST un jeu.

Forcément, quand on "test" un nouveau compagnon, on y pense tout le temps, non ? Laissez-moi être une fille aussi un peu quand même !

Hier soir, nous sommes allés dîner chez ma soeur, dans l'appartement donc où nous nous sommes rencontrés pour la première fois. Je réalise encore difficilement, en fait !

Il a été l'objet de mon désir pendant si longtemps... Quand je me réveillais, la première chose que je faisais était de lui dire bonjour par texto. Je m'accrochais à mon portable pendant un bon quart d'heure, à discuter avec lui de sa nuit et de la journée qui nous attendait. Le temps de me doucher et d'attraper un café, je me jetais sur Wow pour aller passer virtuellement du temps avec lui. Il était parfois obligé de partir pour des obligations irl, et je n'attendais qu'une chose : revoir son nom en rose apparaitre sur ma fenêtre de chat.
Le soir, je lui souhaitais bonne nuit, et je partais me coucher, la tête pleine de ses paroles et de ses promesses. Je dormais à côté d'un autre, mais je ne pensais qu'à lui, tout le temps.

Et les jours se sont enchainés ainsi pendant des semaines, des mois.

Est donc arrivé le jour, totalement irréel, où nous nous sommes vu en vrai pour la première fois. Ca a collé si bien, tout de suite... Et nous avons dû nous séparer pour retourner à notre vie réelle, chacun de notre côté, et notre vie virtuelle commune.

Depuis, j'ai si peur de me séparer de lui, ne serait-ce que quelques heures. J'ai toujours l'impression qu'il ne reviendra pas...

Ce matin, je suis seule car il est parti passer un entretien dehors. Il m'a appelée deux fois pour me dire comment tout s'était passé, et à chaque fois, j'ai eu le même pincement au cœur, comme un rappel de la période où nous n'étions qu'une voix par téléphone, et quelques mots sur un jeu.

Je ne veux plus vivre loin de lui.
Parfois, je le regarde, et je comprend que celui que j'ai tant désiré est enfin dans mes bras. Il est difficile de décrire ce sentiment d'accomplissement et de plénitude.

Mais contrairement à tous les objectifs que je me fixe, qui me paraissent fadasses une fois atteint, celui-là... Je commence à peine à le déguster :)

14 décembre 2010

On avance :)

Wahou, dix jours se sont déjà écoulés depuis mon dernier message !
Ca passe tellement vite, l'air de rien... Mon humeur oscille de jour en jour, avec une tendance au chaud et au joyeux depuis quelques temps. La vie est loin d'être totalement sans nuage : il y a des soucis d'argent, de famille, de boulot, mais...

Je me sens si bien :)
Allez, je ne perd pas mon ancienne tradition : une petite piste deezer à écouter en lisant ça :)
http://www.deezer.com/listen-6489970

J'ai encore du mal à réaliser tout ça.
Quand on s'est mis à habiter ensemble, je savais qu'on avait beaucoup de points communs et que notre vie commune serait très agréable.... mais j'étais loin d'imaginer qu'on en arriverait à un tel point de bonne entente !

J'ai l'impression de revivre, d'avoir à nouveau envie d'avancer, d'apprendre, d'être curieuse. Il m'inspire.
Il est là quand ça ne va, il a toujours les bons mots pour me remettre sur les rails, il est si agréable à vivre :)

Oh, tout n'est pas parfait. Mais quand il y a un soucis, on en parle, on s'arrange, et ça repart. J'espère que ça durera ainsi. Il n'y a rien à changer, vraiment !

Ce que j'aime tout particulièrement chez lui, c'est qu'il me pousse à me dépasser.
Grâce à lui, j'arrive à être quelqu'un de bien.
Je me suis longtemps plainte d'habiter encore dans un studio à mon âge, de ne pas avoir de situation particulière, de ne pas avoir encore fondée une famille. Ces considérations m'ont un peu abandonnée dernièrement.
Je suis toujours dans un studio, mais pour la première fois, il est présentable, et j'y suis bien. Nous y sommes bien, je pense.
Les évolutions viendront certainement avec le temps, mais il faut profiter de l'instant.

A trop en vouloir toujours plus, on ne se satisfait pas de ce qu'on a dans le présent. C'est un défaut que j'ai toujours eu, et dont je veux me détacher le plus possible.

Je me sens en sécurité.

Je sais que tout ira bien, quoi qu'il arrive, et qu'il sera là pour m'épauler.

Bon dieu, ce que j'aime ce sentiment :) Je crois que c'est ça qu'on appelle être heureux.

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